The Prestige : We don’t forget

English

Executive Summary ‘The Prestige Disaster’

15.15 p.m. on 13th November 2002, the 26-year-old, single hulled oil tanker Prestige, flying the Bahamian flag and loaded with 77,000 tonnes of residual heavy fuel oil, sent out an SOS at a distance of 28 miles (50 kilometres) from Finisterre, Galicia, Spain. At five o´clock that afternoon, the first litres of crude oil began to pollute the Atlantic Ocean.

Two years later, the remains of the slick, the sadly famous ‘chapapote’, ‘pichi’ or ‘galipote’, depending on the stretch of coast where it comes to shore, continues to appear like a never-ending tide on the Atlantic coast
Studies such as “El Impacto del Prestige”, carried out by scientists from Galician universities, reveal a particular concern about the current situation. The authors, who also studied the repercussions of the sinking of the Mar Egeo ship off the coast of A Coruña in 1992, estimate that the damage caused by the Prestige is even greater.
The enormous loss of bird life, between 250,000 and 300,000 specimens according to estimates by the Spanish Ornithology Society (SEO/BirdLife), indicates that we are talking of the greatest catastrophe of this type ever suffered in Europe and the second most serious in the world after the wildlife deaths caused by the Exxon Valdez in Alaska in 1989. The research done by these experts indicates that, from an economic point of view, the Prestige disaster actually exceeds that of the Exxon Valdez since the cost of the cleaning and recovery work could total 2,500 million euros, compared to the 1,800 million spent in Alaska.

According to the predictions of expert scientists in this area, the socio-economic an environmental repercussions of the oil slick will continue to be felt for at least a decade along the 2,000 kilometres of coast that have been affected. The entire Cantabrian and El Impacto del Prestige have seen their shores seriously damaged by the arrival of countless waves of crude oil. The spill has blackened beaches and cliffs, eliminated some of the marine life, either directly (due to mortalities) or indirectly (many free-moving organisms fled when faced with the presence of the hydrocarbon). It has also jeopardised the quality of the waters, which will take many years to recover the characteristics necessary for marine life to develop as it was before the environmental disaster.

Despite this serious situation, the Spanish government has still not presented a comprehensive recovery plan which would serve to speed up the environmental, economic and social recovery of the affected coastline. Furthermore, there has been nochange in the international global regulatory regime which could prevent similar accidents in the future.The Prestige disaster must serve as a salutary lesson and lead to a change in direction. This is how it must be understood by those that manage economic and environmental resources. The Cantabrian and Galician coasts have been a source of wealth for hundreds of years …both in terms of resources and employment. Now they are more vulnerable than ever and their very structure and function are under threat.

We must use all the expertise and resources necessary in order to prevent such a huge-scale disaster from ever happening again. The Spanish government must understand the role that the marine environment plays in the natural biological balance and must give priority to the environmental, economic and social recovery of the affected area as a whole.
A fair measure of the Spanish government´s scarce interest is the amount of money invested in evaluating the catastrophe caused by the Prestige. The Ministry of Science and Technology has implemented research programmes which total, according to several sources close to the government, less than 10 million euros. The amount spent by the North American government in evaluating and monitoring the oil slick caused by the Exxon Valdez came close to 400 million dollars. Forty times the budget for the Prestige.

This would require the development of an environmental monitoring system for the affected ecosystems. The measures put forward so far by the government are partial and fragmentary and in many cases they completely overlook the natural areas that have been affected. This is true of the so-called ‘Plan Galicia’, a combination of costly infrastructures (ports, roads and railways) which are totally unrelated to the recovery programmes needed by the Galician and Cantabrian coasts.

Français

Résumé général du rapport ‘The Prestige Disaster, One Year On’

Le 13 novembre 2002 à 15h15, le Prestige, un pétrolier à simple coque âgéde 26 ans, battant pavillon des Bahamas et chargé de 77 000 tonnes de fioullourd, envoyait un SOS alors qu’il se trouvait à 25 miles (50 kilomètres)de Finisterre, en Galice, en Espagne. A 17h le même jour, les premierslitres de pétrole brut commençaient à polluer l’Atlantique.

Deux ans après, les restes de la marée noire, appelés chapapote, pichi ou galipote selonles parties du littoral qu’ils sont venus maculer,continuent de s’échouer telle une maréeperpétuelle sur le littoral atlantique.

Des études comme “El Impacto del Prestige”, menées par des universitaires de Galice, indiquent que la situation actuelle est particulièrement préoccupante. Les auteurs, qui avaient également étudié les répercussions du naufrage du Mar Ego au large de la Corogne en 1992, estiment que les dommages duPrestige sont encore plus importants.
Le grand nombre d’oiseaux tués, 250 000 à 300 000 individus selon les estimations de la Société ornithologique espagnole (SEO/Birdlife), indique que nous sommes face à la plus grande catastrophe de ce type jamais connue en Europe, et la deuxième plus importante au monde après le carnage provoqué dans la faune de l’Alaska par l’Exxon Valdez en 1989. La recherche menée par ces experts indique que, d’un point de vue économique, le
naufrage du Prestige dépasse en gravité celui de l’Exxon Valdez car le coût total du travail de nettoyage et de réhabilitation pourrait coûter 2 500 millions d’euros au total, bien plus que les 1.800 millions dépensés en Alaska.

Selon les prévisions de scientifiques spécialistes du domaine, les répercussions socio-économiques et écologiques de la marée noire vont continuer à se faire sentir pendant encore au moins une décennie le long des 2 000 kilomètres de côte qui ont été touchés. Toutes les côte de Cantabrique et de Galice ont vu leur littoral gravement endommagé par l’arrivée de vagues innombrables de pétrole brut. La marée noire à noirci les plages et les rochers, détruit une partie de la vie marine, soit directement (mortalité) soit indirectement (fuite de nombreux être vivants pouvant se déplacer librement face aux hydrocarbures). Elle a également compromis la qualité de l’eau, qui va mettre des années à retrouver les caractéristiques nécessaires pour que la vie marine redevienne comme elle était avant la catastrophe écologique.

Malgré la gravité de la situation, le gouvernement espagnol n’avait toujours pas à l´époque présenté de véritable plan de réhabilitation permettant d’accélérer le rétablissement écologique, économique et social des côtes touchées. De plus, il n’y a eu aucun changement de la réglementation internationale qui pourrait permettre d’éviter que de tels accidents se reproduisent.

Le naufrage du Prestige doit servir de leçon salutaire et permettre un changement de direction. C’est ainsi que cela doit être compris par ceux qui qui gèrent les ressources économiques et écologiques. Les côtes de Cantabrique et de Galice sont une source de richesse depuis des centaines d’années, aussi bien en termes de ressources que d’emploi. Aujourd’hui elles sont plus vulnérables que jamais et leur fonction et leurs structures mêmes sont menacées.

Nous devons utiliser toute l’expertise et les ressources possibles pour empêcher des catastrophes d’une telle ampleur de se reproduire. Le gouvernement espagnol doit comprendre le rôle que l’environnement marin joue dans l’équilibre biologique naturel et doit donner la priorité au rétablissement écologique, économique et social de l’ensembledes zones touchées.

Une bonne mesure du peu d’intérêt du gouvernement espagnol est la quantité d’argent investie dans l’évaluation de la catastrophe duPrestige. Le ministère de la Science et de la Technologie a mis en place des programmes de recherche qui au total, selon plusieurs sources proches du gouvernement, ne dépassent pas les 10 millions d’euros. Les sommes dépensées par le gouvernement étasunien pour évaluer et surveiller la marée noire causée par l’Exxon Valdezs’approchaient des 400 millions de dollars. Soit quarante fois le budget consacré au Prestige.

Des mesures sont nécessaires de toute urgence pour éviter que des catastrophes comme celle du Prestige aient de nouveau lieu sur nos côtes. Pour cela, il est essentiel d’adopter et mettre en oeuvre des solutions permettant d’éviter de nouvelles catastrophes. Il faut également considérer que le rétablissement complet des écosystèmes touchés est absolument nécessaire.

Cela nécessiterait la mise au point d’un système de suivi environnemental des écosystèmes touchés. Les mesures jusqu’à présent mises en avant par le gouvernement sont partielles et fragmentaires et dans de nombreux cas négligent complètement les zones naturelles qui ont été touchées. C’est notamment le cas du fameux “Plan Galice”, une combinaison d’infrastructures coûteuses (portuaires, routières et ferroviaires) qui n’a absolument rien à voir avec le programme de réhabilitation dont les côtes de Galice et de Cantabrique ont besoin.

Castellano

Resumen general del informe ‘Prestige Disaster, One Year On’

El 13 de noviembre de 2002 a 15h15, el Prestige, un petrolero casco simple casco de 26 años, hoja pabellón de las Bahamas y encargado de 77.000 toneladas de fuel pesado, enviaba un SOS entonces qu’il se encontraba a 25 millas (50 kilómetros) del Finisterre, en Galicia, en España. A las cinco que la tarde el mismo día, los primeros litros de petróleo bruto comenzaban a contaminar el mar Atlántico.

Dos años después de los restos de la marea negra, llamados chapa, pichi o gali según las partes del litoral que han venido a macular, siguen apareciendo como una marea perpetua sobre el litoral atlántico.

Estudios como “EL Impacto del Prestige”, realizados por universitarios de Galicia, indican que la situación actual es especialmente preocupante. Los autores, que habían estudiado también las repercusiones del naufragio du Mar Ego frente a la costa de A Coruna en 1992, consideran que los daños del Prestige son aún más importantes. El gran número de pájaros matados, 250.000 a 300.000 especímenes según las estimaciones de la Sociedad ornitológica española (SEO/Birdlife), indica que estamos ante la mayor catástrofe de este tipo nunca conocida en Europa, y el segundo más importante del mundo después de la matanza causada en la fauna de l’Alaska por el Exxon Valdez en 1989. La investigación llevada a cabo por estos expertos indica que, desde el punto de
vista económico, el naufragio del Prestige supera en gravedad el de l’Exxon Valdez. El coste laboral total de limpieza y rehabilitación podría costar 2.500 millones d’euros en total, bien más que los 1.800 millones gastados en Alaska.

Según las previsiones de científicos especialistas del ámbito, las repercusiones socioeconómicas y ecológicas de la marea negra van a seguir haciéndose sentir al menos durante aún una década a lo largo de los 2.000 kilómetros de costa que fueron afectado. Toda la costa de Cantábria y de Galicia vio su litoral seriamente dañado por la
llegada de olas innumerables de petróleo bruto. La marea negra ennegrecido a las gamas y las rocas, destruido una parte de la vida marina, o directamente (mortalidad) o indirectamente (fuga de numeroso ser vivos que puede desplazarse libremente ante los hidrocarburos). Comprometió también la calidad del agua, que va a poner años a
encontrar las características necesarias para que la vida marina vuelva a ser como estaba antes de la catástrofe ecológica.

A pesar de la gravedad de la situación, el Gobierno español todavia no ha presentadoverdadero plan de rehabilitación que permite de acelerar el restablecimiento ecológico, económico y social de las costas afectadas. Además, no tuvo ningún cambio de la normativa internacional que podría permitir de evitar que tales accidentes se reproduscán El naufragio del Prestigio debe servir de lección saludable y permitir un cambio de dirección. Es así como eso deba ser incluido por los que administran los recursos económicos y ecológicos. Las costas de Cantábria y de Galicia son una fuente de riqueza desde centenares de anos, tanto en términos de recursos como de empleo. Hoy son más vulnerables que nunca y su función y sus estructuras propias son amenazadas.

Debemos de utilizar está valoración y los recursos posibles para impedir que otra catástrofes con tal amplitud se reproduzca. El Gobierno español debe comprender el papel que lel medio ambiente marino desempeña en equilibrio biológico natural y debe dar la prioridad al restablecimiento ecológico, económico y social de todas las zonas afectadas.

Una buena medida del poco de intéres del Gobierno español es la cantidad de dinero invertida en la évaluación de la catástrofe del Prestige. El Ministerio de Ciencia y Tecnología estableció programas de investigación que en total, según varias fuentes próximas al Gobierno, no superan los 10 millones d’euros. Las sumas gastadas por el
Gobierno étasuniense para evaluar y supervisar la marea negra causada por l’Exxon Valdez alcanzarón los 400 millones de dólares. O sea cuarenta veces el presupuesto consagrado al Prestige.

Para eso, es esencial de adoptar y aplicar soluciones que permiten de evitar nuevas catástrofes. También se considera que el restablecimiento completo de los ecosistemas afectados es absolutamente necesario.

Eso requeriría la puesta a punto de un sistema de seguimiento medioambiental de los ecosistemas afectados. Las medidas puestas hasta ahora a continuación por el Gobierno son parciales y fragmentarios y en numerosos casos descuidan completamente las zonas naturales que fueron afectadas. Es, en particular, el caso del famoso “Plan Galicia”, una combinación de infrastructuras costosas (portuarios, de carreteras y ferroviarios) que no tiene absolutamente nada a ver con el programa de rehabilitación cuyas costas de Galicia y de Cantábria necesitarían.

Deutsch

Allgemeine Zusammenfassung des Berichtes ‘ The Prestige Disaster’

Die “Prestige”, ein Tanker mit einfachem Rumpf, mit 26 Jahren auf dem Buckel,die Flagge der Bahamas führend und mit 77.000 Tonnen Öl beladen, sendete am 13. November 2002 um 15 Uhr 15, während sie sich 25 Meilen(50 Kilometer) vor der Küste Galiziens in Spanien befand, SOS. Um 17 Uhr, am selben Tag, begannen die ersten Liter Rohöl, den Atlantik zu verschmutzen.

Fast zwei Jahre danach beschmutzen die Reste der Ölpest, die als “chapapote”,”pichi” oder “galipote” bezeichnet werden, je nach den Teilen des Litorals, das sie beflecken, wie eine ständige Flut den atlantischen Litoral.
Studien wie “El Impacto del Prestige”, die von Akademikern aus Galizien durchgeführt wurden, heben hervor, dass die derzeitige Lage besonders beunruhigend ist.
Die Autoren, die ebenfalls die Auswirkungen des “Mar Ego”-Schiffbruchs vor der Küste Corognes im Jahre 1992 untersucht hatten, glauben, dass die Schäden der Prestige noch umfassender sind. Die große Zahl von Vögeln (250.000 bis 300.000 Tiere nach Schätzungen der spanischen ornithologischen Gesellschaft SEO/Birdlife), die getötet wurden, hebt hervor, dass wir angesichts der größten Katastrophe dieses Typs in Europa stehen, das bis jetzt registriert wurde und die zweitwichtigste weltweit nach dem Blutbad, das 1989 der Fauna Alaskas durch die “Exxon Valdez” angetan wurde. Die Forschungsergebnisse dieser Experten zeigen, dass unter wirtschaftlichen Gesichtspunkten, der Schiffbruch der “Prestige” den der “Exxon Valdez” in Ernsthaftigkeit überschreitet: Die Gesamtkosten der Reinigung und der Rehabilitation kÖnnten insgesamt 2.500 Millionen Euro kosten – sehr viel mehr als die in Alaska ausgegebenen 1.800 Millionen.

Nach den Prognosen von Spezialisten, werden sich die sozioökonomischen und ökologischen Auswirkungen der Ölpest entlang der betroffenen 2.000 Küstenkilometer mindestens ein Jahrzehnt fortsetzen. Alle Küsten von Cantabria und Galizien sehen ihr Litoral durch die Ankunft von unzähligen Rohölwellen beschädigt.

Die Ölpest hat an den Stränden und die Felsen geschwärzt, ein Teil des Meereslebens entweder direkt (Sterblichkeitsrate) oder indirekt zerstÖrt (Flucht zahlreicher Lebewesen, die sich angesichts der Kohlenwasserstoffe noch frei bewegen können). Sie hat ebenfalls die Qualität des Wassers in Frage gestellt, so dass es Jahre brauchen wird, um die notwendigen Eigenschaften wiederzuerlangen, die das Meeresleben wieder so machen, wie es vor der ökologischen Katastrophe war.

Trotz des Ernstes der Lage hat die spanische Regierung noch keinen echten Rehabilitationsplan vorgestellt, der erlauben würde, die ökologische,wirtschaftliche und soziale Wiederherstellung der betroffenen Küsten zu beschleunigen Außerdem hat es bei den internationalen Regelungen keine Änderung gegeben, die vermeiden könnten, dass sich solche Unfälle wiederholen.

Der Schiffbruch der “Prestige” muss als heilsame Lektion dienen und eine Richtungsänderung erlauben. Dies sollte von jenen begriffen werde, die wirtschaftliche und ökologische Mittel verwalten. Die Küsten von Cantabria und
Galizien sind seit Hunderten von Jahren eine Quelle des Reichtums – sowohl in Bezug auf Mittel als auch Beschäftigung. Heute sind sie verletzbarer denn je und ihreFunktion sowie ihre eigenen Strukturen werden bedroht.

Wir müssen das ganze Gutachten und die möglichen Mittel nutzen, um zu hindern, dass sich Katastrophen dieses Ausmaßes wiederholen. Die spanische Regierung muss begreifen, welche Rolle die Meereswelt im natürlichen biologischen Gleichgewicht spielt und muss Priorität für die ökologische, wirtschaftliche und soziale Wiederherstellung der Gesamtheit der betroffenen Zonen einräumen.

Eine gute Einschätzung des geringen Interesses der alten spanischen Regierung (unter Aznar) ist die Geldsumme, die in die Bewertung der “Prestige”-Katastrophe investiert wurde: Das Ministerium für Wissenschaft und für Technologie hatte damals – laut mehreren regierungsnahen Quellen – Forschungsprogramme geschaffen, die
insgesamt die 10 Millionen Eurogrenze nicht überschreiten. Die Summen, die von der US Regierung ausgegeben wurden, um die durch die “Exxon Valdez” verursachte Ölpest abzuschätzen und zu überwachen, lag nahe bei 400 Millionen Dollar das heißt vierzigmal das der “Prestige” gewidmete Budget. Zaptero, der aktuelle
Ministerpräsident, hat mehr Hilfe zugesagt.

Es sind dringend Maßnahmen notwendig, um zu vermeiden, dass Katastrophen wiedie der “Prestige” erneut an unseren Küsten stattfinden. Auch die betroffenen Ökosysteme müssen vollständig wiederhergestellt werden.

Das würde die Fertigstellung eines Systems für Umweltbeobachtung der betroffenen Ökosysteme erfordern. Die von der spanischen Regierung bis heute angeführten Maßnahmen sind partiell, bruchstückhaft und vernachlässigen in zahlreichen Fällengänzlich die natürlichen Zonen, die betroffen worden sind. Es ist insbesondere der Fall des “Galizienplans” bekannt, eine Kombination kostspieliger Infrastrukturen aus Häfen, Straßen und Zugstrecken, die überhaupt nichts mit dem Rehabilitationsprogramm zu tun hat, dessen die Küsten Galiziens und Cantabrias bedürfen.